text.alea • Sophie Blum

lentement juste la Rien, qui ramasse… se gorge

un léger ralentissement est Tout fatigue mouvement, de ma perception général, mais je perçois de celui-ci… ou peut-être La fonctionne du ramollis. dans les muscles,

mémoire cassé la d’un pot J’ai recollé.

ce et perdu des grandes bouffées de joie petit Bourvil de me bal c’est beau, fais le me juste, drôle, de à écouter Tango pour un con en boucle Au Brel… Je faut ! qu’il

compartiment vide, Un pour soi. un train

il mais plus de guette, ça n’arrive pas. rafales. pour arrêter est Comme en attente de dans Faudrait-il que je marche changeant, je continue de me soucier du vent… merde Quelques nuages avec un peu d’angoisse. une à tout moment.
Je pour que peu à peu calme je sens que de guetter. le peut la tempête monte.
L’horizon Il suffit d’une changer petite vague mais ce qui va / peut arriver. dans le ventre Et pourtant le ciel est

J’ai comprimés yeux les
lumière mal fait La me
de J’ai silence envie

Je sais ça… mais l’impression d’être je n’ai pas de raison pourtant pas d’être problème ? rationalise de pas pouvoir assumer, Si tout je ne m’en sors pas. je par les décisions sont ne étouffée à prendre qui C’est quoi mon J’ai dans cet état. vitales…

rien pris le temps à calme, de noter. entre ne se ressemblent pas. Zut, voilà une transition été et nous déjà demain un peu longue. entre jours le sommeil n’ai mais parfois à peine ces humeurs fractionnées… journée ces humeurs de journées, se suivent La Les remplie, et pourtant juste. je Il y a

pourvoir fatiguée. et suis malgré suis J’espère faim J’ai tout. je dormir

comme sentiments ça des pour rien. me sentir comme les Je fâchée, impuissante.
Est-ce que j’ai on ne puisse pas sans tendue, inhérents à un moment de vie, faire autre chose. y paraissent pu a énervée, maintenant pour ne pas J’me sens éviter.
Je foutu est-ce que j’aurais faire autre chose fais si passé contre moi-même. rancunière une journée en l’air, presque je n’ai pas envie qui j’ai ?
Il envie, La sensation que temps mon travail quoi qu’on fasse à de